1/26/13

Trees (again!) - benchmarking?

Je regardais mes "archives" pour voir les arbres que j'ai fait jusqu'à ici, j'ai déjà trouvé tout ceci - moins de dessins que je ne pensais....


Les 2 en bas à gauche sont des copies de John F. . Carlson









 Copie de K Macpherson

Copie de S Burdick

Y en a d'autres... .. j'ai trouvé ces trucs ci!!!




Ces 4 sont des copies de JD Harding







1/25/13

Band of Brothers





Groupe d'arbres (au cas où..) fusain et n'importe quoi, sur Canson mi-teintes

Va falloir que je m'applique :(

1/24/13

Lydie

Pour ceux qui ne connaissent pas. Blog charmant et varié - aquarelles, etc

http://lydie-pieplu.blogspot.fr/

Suite



Je me suis fait du "cocooning", donc. Je me suis mis au lit et, sous la cône de lumière de la lampe, j'ai rêvé le livre de dessins de Donald. Ce sont des poèmes qui me correspondent –  bien sûr c'est du grand art, il sont sublimes, magnifiques, etc., (j'ai l'impression d'avoir les originaux de Whistler ou Rembrandt entre les mains !) mais ce qui compte c'est que c'est "ça" que je cherche, qui me plaît au plus profond - des arbres sous la pluie à côté du pont de Gretz…. - ma vie interne….

J'ai dit hier que, quand j'ai repris mes ""activités artistiques"", l'internet avait tout changé – je voulais dire au niveau apprentissage – informations "techniques", mais il ne faut pas oublier non plus que avant,
les seuls images qu'on avait c'étaient des images découpées dans des magazines de beaux arts, cartes postales prises dans des expos ou musées, quelques livres – chers et surtout des tableaux de artistes très connus (pour les artistes "contemporains" - pas évident - je regrette toujours de ne pas avoir pris le livre sur Lopez Garcia dans le magasin du Centre Pompidou)… avec l'internet tous les images de tous les temps et pays défilent sous mes yeux! Un flot d'images – elles sont souvent impressionnantes, magnifiques, passionnantes... avant, après une visite d'une galerie dans un bled perdu, oups, joli village, pardon ;) où l'aurais découvert un artiste que j'adorais, j'aurais marqué son nom sur mon cahier avec quelques notes… ..Maintenant je suis submergé (et blasé!) – les "tableaux" ne sont plus rare et précieux…


Mais ma mémoire fait le tri. Restent les images (dans ma tête) qui me correspondent. Un artiste, je suppose, cherche surtout à partager/communiquer. L'argent et l'ego seront écartés par le spectateur – qui voudrait, lui, s'approprier une image qui le touche. Vue comme ça, le "succès" n'est pas quelque part dans le futur, car, autre avantage du "net", on peut exposer maintenant et, voilà, justement, intéresser quelques uns (pour divers raisons)…

Il y a, donc, des images de mes amis et "collègues" que je n'oublierai jamais!


Avant, sans l'internet, il n'y avait que des expos style "club d'arts plastiques" (pour moi) , maintenant on fait des expos permanentes et internationales!







1/23/13

A Flash of Light in the Gloom

Il fait sombre. Il fait froid. J'ai pas d’énergie... brrr.... yukk. - - -  Mais le livre de Donald Journey est arrivé ! Rayon de soleil ! Je vais me mettre au lit pour le lire/regarder...




Désolé pour la qualité des photos - la nuit tombe...



Voilà une photo avec le soleil 






J'ai déjà dit tout ceci...

J'ai dessiné/peint jusqu'à l'adolescence - comme (presque) tout le monde. Je pensais être pas mal, jusqu'à ce que j'ai vu le dessin d'un train au fusain par le grand frère d'un copain, et les têtes de chevaux dessinés par une copine. Eh bien. Je me suis toujours intéressé aux beaux arts - j'avais un bon culture dans cette domaine - et j'ai continué de l'approfondir même pendant mes études en science. J'ai dessiné un peu de 18-20 ans :


Dessin de '77

En 1982, au chômage (jeune chômeur !) j'ai été inspiré de vraiment essayer de peindre - par la mousse vert vif sur le tronc d'un hêtre (eh bien, oui). Je suis venu en France - et j'ai continué - acrylique par terre à Toulon - et puis, de plus en plus  - Paris 13ème- déclic - plein panneaux d'isorel 80 cm x 120 cm - yes!!, Marseille - point fort - le concours Lefranc et Bourgeois - sélectionné - expo au palais du Prado (superbe!) et final au Cirque d'Hiver avec Klasen comme juge (je n'étais pas finaliste - faut pas rêver !) - Paris (concours de peinture "dans la rue" dans l'Essonne) - jusqu'en 1993. Là, je me suis arrêté net - du jour au lendemain - j'étais en train de faire ceci :


Tableau de 1993 - dans l'état !

Je raconte ceci comme ça - je trouve ça étonnant - je suis un peintre de dimanche, bien sûr, sans but (heureusement !), c'est comme si c'était un autre !

J'ai repris en 2008 en vacances avec les enfants,



Gerard Richter - Chinon - umm, pas JoLoMo!!!

 inspiré par un article sur le Journal au sujet de JoLoMo (John Lowrie Morrison) - quel geste simple, gaie, libre ! (il a des critiques sévères, on imagine bien. Je ne suis pas d'accord - les bonnes poèmes viennent de tout part et je déteste me limiter au niveau "visuel", quoique ;D )

Premier tableau après la "reprise" (et après l'avoir refait bon nombre de fois) :



L'internet avait tout changé - donné des possibilités énormes. Les américains sont généreux avec les connaissances - je l'ai déjà dit - beaucoup plus que les européens, je trouve, moi, en tout cas. Ca fait donc 4 ans que je bosse et m'amuse. Il me semble avoir découvert, comme j'ai dit, que le dessin/peinture sont un peu comme une langue ou instrument de musique, etc. On peut arriver - si on travaille - sur des années - ça c'est la partie "technique" - Mais j'ai aussi découvert que "le voyage est la destination", et que c'est le fait "faire" et d'avoir un parcours (aussi humble soit-il) "artistique" où on découvre pleins de petites et grandes choses - y compris des visites, promenades, livres, films, gens, gens (encore), etc. (la vie ?). J'avais le flemme de commence un blog, j'ai le flemme maintenant...

mais





1/16/13

Soleil voilé





Soleil voilé,  huile sur toile, 38 x 55 cm

Hmm, mauvaise photo - c'est un peu mieux, je trouve, dans la réalité... eh bien - j'ai 2 autres en cours...


1/10/13

D'Artagnan et l'homme de Meung, Richelieu et



Le même jour le jeune homme se mit en route, muni des trois présents paternels et qui se composaient, comme nous l’avons dit, de quinze écus, du cheval et de la lettre pour M. de Tréville  comme on le pense bien, les conseils avaient été donnés par-dessus le marché.
Avec un pareil vade-mecum, d’Artagnan se trouva, au moral comme au physique, une copie exacte du héros de Cervantes, auquel nous l’avons si heureusement comparé lorsque nos devoirs d’historien nous ont fait une nécessité de tracer son portrait. Don Quichotte prenait les moulins à vent pour des géants et les moutons pour des armées, d’Artagnan prit chaque sourire pour une insulte et chaque regard pour une provocation. Il en résulta qu’il eut toujours le poing fermé depuis Tarbes jusqu’à Meung, et que l’un dans l’autre il porta la main au pommeau de son épée dix fois par jour  toutefois le poing ne descendit sur aucune mâchoire, et l’épée ne sortit point de son fourreau. Ce n’est pas que la vue du malencontreux bidet jaune n’épanouît bien des sourires sur les visages des passants  mais, comme au-dessus du bidet sonnait une épée de taille respectable et qu’au-dessus de cette épée brillait un œil plutôt féroce que fier, les passants réprimaient leur hilarité, ou, si l’hilarité l’emportait sur la prudence, ils tâchaient au moins de ne rire que d’un seul côté, comme les masques antiques. D’Artagnan demeura donc majestueux et intact dans sa susceptibilité jusqu’à cette malheureuse ville de Meung.
Mais là, comme il descendait de cheval à la porte du Franc Meunier sans que personne, hôte, garçon ou palefrenier, fût venu prendre l’étrier au montoir, d’Artagnan avisa à une fenêtre entrouverte du rez-de-chaussée un gentilhomme de belle taille et de haute mine, quoique au visage légèrement renfrogné, lequel causait avec deux personnes qui paraissaient l’écouter avec déférence. D’Artagnan crut tout naturellement, selon son habitude, être l’objet de la conversation et écouta. Cette fois, d’Artagnan ne s’était trompé qu’à moitié : ce n’était pas de lui qu’il était question, mais de son cheval. Le gentilhomme paraissait énumérer à ses auditeurs toutes ses qualités, et comme, ainsi que je l’ai dit, les auditeurs paraissaient avoir une grande déférence pour le narrateur, ils éclataient de rire à tout moment. Or, comme un demi-sourire suffisait pour éveiller l’irascibilité du jeune homme, on comprend quel effet produisit sur lui tant de bruyante hilarité.


Le vrai cadeau de son père à D'Artagnan était la capacité de manier l'epée ;D




Un soir d'été, dans un village du coeur de la France, Gillian Tindall a découvert par hasard, dans une vieille maison inhabitée qui venait d'être vidée de tout ce qui y avait été accumulé pendant cent cinquante ans, un trésor caché : un petit paquet de lettres datant des années 1860, soigneusement pliées et enfermées dans une boîte. Celles-ci étaient adressées à la fille de l'aubergiste de Chassignolles, Célestine ; toutes, sauf une, étaient des demandes en mariage. Gillian Tindall allait passer les années suivantes à compulser des archives poussiéreuses, à fouiller des greniers de ferme, à explorer les souvenirs et les mythes des hommes et des femmes de la région. En essayant de reconstituer la vie émouvante et obscure de cette femme, ainsi que les vies de ses contemporains et de ses descendants, l'auteur est parvenue, de fil en aiguille, à évoquer non seulement le monde disparu de ce village mais aussi une période cruciale de l'histoire française. Célestine Chaumette naquit en 1844, à une époque où les villages comme celui de Chassignolles, perdu au milieu des forêts de chênes hantées par les loups, n'étaient pas bien différents de ce qu'ils avaient été au Moyen Age. Elle y vécut jusqu'en 1933, alors que les routes, les chemins de fer, les magasins, les écoles et une guerre mondiale avaient transformé la campagne aussi profondément que si des siècles s'étaient écoulés.



Lorsque, en 1876, Robert Louis Stevenson rencontre Mrs. Osborne, une Américaine de trente-cinq ans, séparée de son mari et mère de deux enfants, c'est le coup de foudre immédiat. Cette jeune femme joyeuse, sauvage, qui a derrière elle le passé rude et mouvementé d'une pionnière de l'Ouest, incarne aux yeux du jeune Ecossais un nouvel idéal féminin. Entre ces deux êtres passionnés naît un amour extraordinaire, qui défiera les conventions et les frontières, de l'Angleterre à la Californie, jusqu'aux lointaines îles Samoa. Biographie à la fois fidèle et romancée, fruit d'une enquête de cinq années, le Fanny Stevenson d'Alexandra Lapierre retrace la vie hors du commun d'une femme résolument moderne, douée d'une volonté de fer et qui, muse et compagne d'un de nos plus grands écrivains, est devenue une légende à elle seule.



Entre Gretz et le Berry, les personnages mises en scène sont nombreux :

Une jeune fille/grande-mère française (de 170 ans!)
Un écrivain anglais : Robert Louis Stevenson (enterré sur une colline dans un île de Samoa)
Une américaine : Fanny Osborne
Une historienne anglaise : Gillian Tindall
Une peintre australien : Norman Lloyd
Plusieurs ânes : ici et là (;D ).. .. dont un dans les Cévennes...
Toute une bande d'artistes à Grez-sur-Loing
Un peintre américain : le maître ! (à qui je dois tout le bazaar!)
Plusieurs artiste français : notamment Michel de Gallard
Une écrivaine française : George Sand
Je mets Chopin, donc ? (j'ai visité sa maison en Pologne... )

Hop, y en d'autres - j'ajoute Alain Fournier et ses personnages... ...et pleins d'autres... dreams are my reality ;)



Day breaks






Dawn points, and another day prepares for cold and silence ;)

J'ai ajouté une couche de pastel...

Allez, on passe au café et croissants - miam, miam...

1/9/13

St Chartier - les toits au petit matin




Tombow brush pens on grey Canson, 50 x 65 cm

Avec un bon café qui attend en bas !

1/6/13

... chez Célestine !!!

... les Alpes... Paris .... Bordeaux... et puis... .... le bocage Berrichon - pour étudier du passé et du futur ;D              Beaucoup de ces "croisements"/"recoupements"...





Pour ferrer les boeufs !












 J.D. Harding!!!