10/31/13

Artemisia dit

Connais-tu ce peintre Henri Edmond Cross ? Je ne me souviens plus si tu l'as déjà évoqué sur ton blog ..!?
http://www.wikipaintings.org/en/henri-edmond-cross/antibes
http://www.wikipaintings.org/en/henri-edmond-cross/antibes-afternoon

Résponse: oui, je le connais, non,je ne pense pas avoir l'évoqué - mais je l'ai presque fait en parlant de Signac :)

Je porte ce tableau en tête (et dans mon coeur ;) )depuis plus de 20 ans, c'est sublime :


La simplicité c'est qch que j'aimerais bien commencer à rechercher!

Merci, alors Artemisisa!!

http://www.wikipaintings.org/en/henri-edmond-cross/antibes
http://www.wikipaintings.org/en/henri-edmond-cross/antibes-afternoon

10/26/13

Autre Expo....

Je suis allé voir l'expo à Avignon   :)    - en images :




















... et faisant partie - une autre performance sur le parking....


suite

Dans la première salle de l'expo Signac, il y a des dessins et les tableaux correspondants – intéressant à voir. Je constate que les dessins me plaisent, mais ne sont pas "très forts" (techniquement)(je me permets :( ).
Maitriser le langage pourrait être un avantage pour écrire des poèmes, mais pas si on n'a rien à "dire"...... ..... .....tandis qu'un poète  avec quelque chose à transmettre arriverait, probablement, à le faire. Parlons de ma mère, donc (chose promise ;) ...). Elle, elle dirait "je te donnerais pas deux sous pour le tout en vrac. Les mettrais à la poubelle, moi" (en fait, pas ici – elle aimerait bien Signac, mais pour l'exemple :) . Hmm, voix de la sagesse (ensuite elle te dirait qu'elle aime bcp Jack Vettriano. Hmm, faut respecter les goûts et avis... ..... .....). Les tableaux sont très pales et lumineux – très peu de valeurs foncées (justement, des études sci-ent-ifi-ques, s'il vous plait, ont montré que les "femmes" n'aiment pas trop les "foncés" – une peinture "féminine" donc!!! Pas besoin de débattre, c'est des bêtises ce genre de propos. Wow, je suis provocateur ce soir, moi. :(

Justement, s'ensuit une petite espace (tout est très ouvert et 'circulaire' – belle espace d'expo!) avec des livres, roue de couleur, etc. sur Chevreul et l'influence sur Seurat, Signac...


Donc, me voilà avec le nez à 20 cm d'un œuvre de maitre (ça fait un moment que je n'ai pas été dans un musée! (et ça se voit)).

Des gens discutent et admirent. Il y a une publique TRES nombreuse – les gens adorent la peinture/les expos, c'est clair!! (y en a qui prennent ça très au sérieux, j'ai un peu l'impression de visiter de saintes reliques (vous connaissez le dicton comme quoi rien n'entend plus de sottises qu'un tableau)...

Vu que je "peins", avoir une toile devant moi comme ça, c'est comme si la main venait juste d'arrêter sa geste (sans faire de comparaison plus que hasardeuse ;P ). D'un autre côté ça les rend très... ..hmm, banals? familiers? Je me rends compte que une photo dans un 'livre d'art' ou sur l'internet, ou encore mieux, une vidéo ou un de ces très très joli reportages sur des expositions à la télé "élèvent" les tableaux" (ceci donc peut être dans un mauvais sens?) et les rendent, en fait, et très bizarrement, plus beaux. La photo a tout changé, la numérique encore plus, et je me demande si le futur est sur toile.. (de lin bien sûr mdr ;D ). Pour être honnête, je n'écoute presque jamais de la musique classique, mais plutôt du, disons, rock.
J'ai peut être tort, mais.

Je circule en regardant tous ces tableaux, blonds, passible, sereins. Une belle simplicité – et le toucher pointilliste me plait énormément. Ah oui, c'est ça que je voulais dire – quand j'avais dit qu'un/e artiste pro est un 'artisan' – les tableau sont, bien sûr, le plus souvent achetés pour 'décorer' un espace. Moi, quand je fais mes gribouillages, c'est souvent dans l'optique de pouvoir m'asseoir sur le canapé et voyager/rêver dans ma 'création'. Signac est bien pour ça. Et j'adore l'eau/les bateaux.



Avignon

Des vitrines avec quelques carnets de croquis/effets personnelles... ... je quitte et vais découvrir les collections permanentes et puis l'expo Chardin, David et cie.

 
Un Cot dans l'escalier


 Autre truc, j'avais souvent l'impression avec les tableaux que le 'dessin' n'était pas tout à fait juste. Peut être c'est moi? (pourquoi tant de haine ;(?!)  Peut être la perfection est très  rare? Pourtant, dans les sculptures (presque tous, très beaux - mais que je dois m'obliger à bien regarder!) je n'avais jamais cette impression - 



tous d'une belle justesse - pourtant je aurait cru plus difficile le travail  en '3D'!?!. D'ailleurs, dans les galeries dessin (des espèces de 'tunnels' avec lumière réduite - jolie ambiance!) - les dessins étaient souvent sublimes et justes. Bizarre ça.


Je pense que je vais laisser tomber mes comms sur la collection permanente/les artistes 'classiques'...

10/25/13

Paul Signac, et amis, live à Montpellier!




Les "faits" sont de mémoire – à vérifier autre part, donc. Sur Wiki ou je ne sais pas 
quel autre source, qui présente l'histoire de l'art d'un point de vu plutôt occidental/euro-centrique/masculin/bourgeoise ;) ...



Hmm, je voudrais juste dire, avant de me lancer dans une diatribe, que je n'ai aucune prétention (j'espère), avec mes petits gribouillages d'amateur, d'un coté, ni 'intellectuelle', d'un autre (toutes les fois que je me suis planté!!). La règle étant que le sot ("con" dans le ancien langage ;) , ne l'ouvre pas pour démontrer sa sottise, je vais l'ouvrir.. ....quand même...






Artemisia m'a donné un coup de pied dans les fess mis sur la piste :) pour aller voir l'expo Signac – je la disculpe de toute résponsabilité dans ce qui va suivre, elle ne pouvait pas savoir comment j'allais déconner par la suite! - à Montpellier – qui est, soit dit en passant,  une très belle ville – ils ont investi! - hmm, la France est belle et a de superbes infrastructures!



 L'homme est comme une fourmi sur la face de la terre. Qui fait des excroissances... .....



Voilà le ""progrès"" (si ce n'est pas le contraire – je me demande?). D'ailleurs, il ne faut pas oublier que, dans la vie de Signac (1863 – 1935), la vie a, je suppose, changé d'une mode de vie rurale au début à une époque plus moderne – mais pas d'électricité, télé, etc (voir le livre "Célestine"). Après les tableaux (souvent foncé!) du siècle précédent, c'est vrai que (bien qu'il y avait la photographie à partir de Degas, Zorn), ce genre de toiles ont dû avoir l'air neuf ("révolutionnaires"? - c'est une concept cher à beaucoup ça).




Une chose qui me frappe c'est que oui, il y a une quantité énorme de tableaux/images dans le monde (plus que de personnes quelqu'un a dit). Alors, en fait, ce n'est peut être pas étonnant que les livres style "Histoire de l'art machin" présentent toujours les mêmes artistes et tableaux - car prenons le cas du musée Fabre là. Ils ont une dizaine de Bazille, faut les exposer donc! puis ils ont.. deux trois Monet, Van Dongen (yeah, whopee) ...à la fin j'en avais marre (beh, quoi? c'est vrai), les touristes passent peut être 30 secondes en moyen devant La Joconde, moi à la fin, je passais devant des Chardin etc. sans même jeter un coup d’œil. 







Le musée Fabre est richement doté, pleins de gardiens! de superbes salles....



– dont plusieurs grandes salles avec les tableaux ('bandes noires') de Soulages. Il y a 20 ans je trouvais ça puissant – je le donné même un 'puissant pouvoir spirituel' ( et ceci sans lire trop de 'discours officiel'!). Maintenant, je trouve ça bien que ça existe, qu'on a cette richesse, qu'on prend soin, oui, tiens, ce petit carnet de route de Signac avec des aquarelles, comme une sainte relique, mieux peut être même!! une tracé concrète de... ...tu imagines!.... et.. um, je pense que je vais m'arrêter là ;).

Je me contredis allègrement d'ailleurs – quand j'avais parlé de comment Madeleine ne existait plus que de par ses aquarelles – je disais exactement le contraire?








Pas de photos dans les exposition 'temporaires' (il y a aussi une expo: "Le Goût de Diderot, Greuze, Chardin, Falconet, David") (dans les collections permanentes, la photo avait l'air d'être permise?).





L'expo s'intitule "Signac, les couleurs de l'eau" – car le pote Paul était souvent sur les rivières/fleuves/mer... Parait que c'est Caillebotte qui l'a appris a naviguer - m'enfin l'appris le bateau du moins. Il a du aimer ça – il avait un bateau. Y avait une lettre de lui à sa chère maman, je pense, où il dit avoir été sur la côte atlantique avec son bateau, puis être passé par le canal du midi (Tarascon (écho), Arles – visite Van Gogh (écho), pour arriver a ("trouver" donc!) St Tropez. Il écrit à sa mère qu'il est super content d'être dans un endroit si charmant et qu'il peut mouiller (c'est bon?)  son bateau – la belle vie, quoi!!! – ça me rappelle Seago (une de mes peintres préférés) qui,parait-il avait un yacht amarré au fond de son jardin en Norfolk (sublime endroit en Angleterre) et qui traversait la Manche avec, remontait la Seine, pour arriver dans Paris).





L'expo commence avec des diapos projetées  – Signac sur son yacht (avec Bonnard), dans son atelier, à St Tropez, etc. ....



Comme toute bonne expo ça génère des émotion, réflexions, étincelles partout – même maintenant en suivant des liens d'artiste en artiste sur l'internet, je pourrais passé la nuit dessus. 



Portrait de Paul Signac par Theo van Rysselberghe (Belge) (premier tableau qu'on voit en entrant dans l'exposition)




Pourquoi dessiner/peindre? - Demande aux enfants! - parce que c'est un plaisir

Quoi dessiner/peindre? Entre ce que tu vois, 
ce que tu connais 
et ce que tu imagines, etc. 
- et toute combinaison possible desquels, y a matière...

Y en a qui en font leur métier.
Là tu es un sorte d'artisan qu fabrique de beaux 'objets' pour des gens aisés/riches – telle que Leonardo, Michel-ange, etc – ou même leur prédécesseurs, quoique, en fait, je pense qu'ils étaient déjà respectées comme artistes' plus que artisan de"base", en fait, m'enfin – je ne sais pas si il y avait le 'statut' qu'on a donné à "l'artiste" plus récemment– quasiment comme des mythes ou divinités. On le fait bien avec Marilyn et les Beetles. Les grecs et romains avait Pallas Athénée etc. ou je ne sais pas quoi? MDR ;D Ou je me trompe, et quelqu'un d'intelligent sait bien garder la mesure en évaluant la "génie" de, mettons, Einstein, sans le 'déshumaniser'?
..et là tu es dans une sorte de hiérarchie – qui dépend, il me semble de plusieurs facteurs. Connaissances, renommée, talent, contenu conceptuelle (;)). Ce qui sont en haut de cette hiérarchie vont être "élus" pour représenter.. quoi, les autres? = "l'histoire"?. Il me semble que Rembrandt avait un contemporain qui avait plus de réussite que lui, et qui était plus 'côté' à l’époque. Mais l'évaluation/critique... ? .. a choisi/'élu' Rembrandt. Ceci peut être ré-évalué. Le concept moderne, qu'il y comme un fil qui fait que Constable "mène" à Monet, qui "mène" à Picasso qui... - ou je sais pas quoi, serait-il une pure construction ou une fausse construction? ....

...hmm, quoique, si on reste dans le figuratif (ou même autre), on arrive a 'faire le tour', en fait. Dans un tableau de Signac je vois un château en ruines sur une colline (écho – un de mes derniers tableaux) 

 
Puis, encore


(autres échos – voiliers goélette – cf article récent de DJ, St Trop, Marseille/Avignon, etc. etc. - trop facile. Il y avait des tableaux de Sisely et Bazille d'hérons – moi, je n'en fais pas, mais toi peut être oui, mes échos sont lourds et ridicules. 
J'ai que une vie. Trouver de la signification? (Je vous épargne mes réflexions sur la mortalité). Oui, tu me dis, écoutes petite fourmi, ramasse ta bouchée de nectar sans nous embêter en tirant la couverture à toi tout le temps, on sait bien que les seuls deux sujets qui intéresse les garçons, c'est eux et, éventuellement, leur maman, mais on s'en fout des tes petits croûtes et traficotages – tu peux pas nous raconter Signac sans t’insérer dans le tableau, dis donc?!!). Hmmmm. Non? ;D. Puis - quand je quitte l'expo Signac et je entre dans les collections permanentes, premier tableau (tu sais, ce style 'maitre flamand' – très classique -), une maison normande - avec un château en ruines sur une colline!! Remarque, l’Europe est bourré de châteaux en ruines, bateaux... ..et hérons :D


Bon, je n'en suis que à l'entrée de l'expo!!! Je déconne dans tous les sens. Je tacherai de raconter la reste de l'expo de façon posée dans un article suivant. 

Si il me reste de lecteurs :(



10/24/13

et je traficote encore...




Castle - étude












 Castle, huile sur panneau 60 x 40 cm

Ceci m'a attiré, mais je voulais pas, maintenant le défi m'a attrapé, quasi-certain de ré-essayer






"Faut que je vois un homme à propos d'un chien, chérie"
huile sur toile, 30 x 35. J'avais de sacrés probs avec le dessin, je me suis dit, oh là là - un an quasiment sans dessiner - tu as tout perdu.. argghh!!...


Donc, j'ai essayé ceci, directement devant l'ordi - en prenant mon temps 45 min/une heure



Emily, crayon graphite

Pouvait mieux faire? ça c'est toujours vrai, en tout cas   ;(      -    m'enfin je l'ai pas jeté....

10/22/13

Pointillisme, anyone?

En triant et traficotant mes 'archives' - les deux tableaux qui m'ont le plus 'intéressés' sont ces deux:














J'ai toujours trouvé le pointillisme très intéressant. Il y a un peintre français contemporain qui en fait. J'ai oublie son nom, tiens - PDA no. 90! Eugène Begarat!!!!! (je pense) (quelle mémoire! ;D)



 
Paul Gosselin




Théo Van-Rysselberghe


http://cultured.com/style/pointillism/

http://www.repro-tableaux.com/a/theo-van-rysselberghe.html


Champ fait des merveilles - c'est ici - http://aquarelleschamp.blogspot.fr/

10/20/13

J'ai commencé à ré-structurer ma galerie un peu, un problème c'est que, pour basculer entre les sous-galeries il faut cliquer sur l'onglet "GALLERY" en tête de page. Je pense qu'il me faut un modèle avec bcp plus de place pour du texte. Si vous avez 5 minutes pour jeter un coup d’œil je serais content - mais c'est les mêmes images bien sûr.


MY ONLINE GALLERY


 Avec un autre modèle je pourrais peut être basculer ce blog là -dessus? hmmm. Est-ce que quelqu'un se souvient de comment faire, en principe, si on vend des tableaux - inscription à la maison d'artistes ou qch?

10/18/13

Johnny Goes To

Hollywoo Avignon Carrefour









Quand je peignais dans les vignes au Château machin, les organisateurs m'ont dit, "Est-ce que vous voulez participer à l'Off?"  Je leur ai répondu
"C'est quoi 'L'Off'?"
 Pour couper court, c'est une expo dans une galerie marchande (je ne citerai pas de nom pour ne pas faire de la pub ;) ).

Mardi soir était passé à remplir le dossier - le thème c'est la région (Gard et Vaucluse -je ne pansais pas avoir bcp d'images sur ce thème - mais j'ai déniché huit - maintenant je pense que j'aurai encore huit or neuf - des toiles j'en ai!!). J'ai même dû faire un résumé de ma démarche artistique! (ummm). Il y a aussi un espèce de 'concours'. J'ai envoyé des photos de huit tableaux, en disant, "lequel vous voulez?". Ils ont répondu les huit + celui du Château fait en plein air!!!

Mercredi et jeudi ont été passé a faire en sorte que on pourrait accrocher les 9 tableaux. Un ou deux - ca va - neuf c'est du boulot...

Ce soir je les ai amenés à Avignon (Carrefour la Courtine), Il y a un magasin qui est vide, et ils ont préparé ça un peu pour faire galerie  (à côté de l'entrée du supermarché) - il y a environ 13 artistes invités.  Hmm, je ne sais plus que dire, ni penser. Un peu de peinture pour les gens qui font leur courses? Voilà les tableaux...














Je suis crevé...




10/16/13

Portraits de la reine

Élisabeth Vigée Le Brun

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Élisabeth Vigée Le Brun
Description de cette image, également commentée ci-après
Louise Élisabeth Vigée Le Brun, Autoportrait (1790).
Nom de naissance Louise-Élisabeth Vigée
Naissance 16 avril 1755
Paris, Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Décès 30 mars 1842
Paris, Drapeau français Royaume de France
Nationalité française
Activité(s) Peintre
Maître Gabriel Briard
Élèves Marie-Guillemine Benoist, Hortense Haudebourt-Lescot
Œuvres réputées Madame la reine Marie-Antoinette avec Rose Vigla

Signature de l’artiste.
Louise-Élisabeth Vigée, épouse Lebrun, dite Madame Vigée-Lebrun, née le 16 avril 1755 à Paris1 et morte dans la même ville le 30 mars 1842, est une peintre française, considérée comme une grande portraitiste de son temps à l'égal de Quentin de La Tour ou Jean-Baptiste Greuze.

Biographie

Enfance

Son père, Louis Vigée, était pastelliste et membre de l’Académie de Saint-Luc; sa mère, Jeanne Maissin, était d’origine paysanne. Son frère, Étienne Vigée, fut un auteur dramatique à succès.
Baptisée à l’Église Saint-Eustache de Paris, l’enfant est aussitôt confiée à des paysans des environs d’Épernon d'où elle ne reviendra à Paris que six ans plus tard pour entrer comme pensionnaire à l’école du couvent de la Trinité, rue de Charonne dans le faubourg Saint-Antoine. Dès cet âge, la jeune Louise-Élisabeth dessine partout, sur ses cahiers, sur les murs de son école.
Vers l’âge de sept ou huit ans, Louis Vigée s’extasie devant un dessin de sa fille et prophétise qu’elle sera peintre. À onze ans, la jeune fille quitte le couvent et vient vivre aux côtés de ses parents. Inconsolable à la mort de son père le 9 mai 1767, elle décide de s'adonner à ses passions, la peinture, le dessin et le pastel.

Formation

Le premier professeur d’Élisabeth fut son père, mais très vite, alors qu’elle a juste 12 ans, il meurt accidentellement. Après ce décès, dont elle mettra longtemps à se remettre, c’est un autre peintre, Gabriel-François Doyen, meilleur ami de la famille et célèbre en son temps comme peintre d'histoire, qui l’encourage à persévérer dans le pastel et dans l’huile, conseil qu’elle suivra.
C’est certainement conseillée par Doyen, qui connaissait bien Gabriel Briard, pour avoir eu le même maître, Carl Van Loo, qu’Élisabeth se rend en 1769, à l’âge de 14 ans, chez ce dernier. Briard est membre de l’Académie royale de peinture, et donne volontiers des leçons, même s’il n’est pas encore professeur.
Peintre médiocre, il a surtout la réputation d’être un bon dessinateur et possède en plus un atelier au Louvre; Élisabeth fait de rapides progrès et déjà, on commence à parler d’elle.

Madame Le Sèvre, Jeanne Maissin, sa mère (1728-1800) par Élisabeth Vigée Le Brun.
C’est au Louvre, où Gabriel Briard a un atelier, qu’elle fait la connaissance de Joseph Vernet, artiste célèbre dans toute l’Europe; à 56 ans, il est l'un des peintres les plus courus de Paris, et ses conseils font autorité; il ne manquera pas de lui en prodiguer « J’ai constamment suivi ses avis ; car je n’ai jamais eu de maître proprement dit » écrira-t-elle, quoi qu’il en soit, il consacrera de son temps à la formation de Mlle Vigée.
Et comme Joseph Vernet ainsi que Jean-Baptiste Greuze, qui s’intéresse aussi à elle, le lui ont conseillé, elle va admirer les chefs-d’œuvre du Luxembourg ; de plus la renommée de ces peintres lui ouvre toutes les portes des collections d'art privées princières et aristocratiques à Paris, où elle peut étudier à loisir les grands maîtres, copier des têtes de Rembrandt, Van Dyck ou Greuze, étudier les semi-tons, ainsi que les dégradations sur les parties saillantes d’une tête, elle écrira : « On pourrait exactement me comparer à l’abeille tant j’y récoltais de connaissances… ». Toute sa vie ce besoin d’apprendre ne la quittera pas, car elle a compris qu’un don se travaille. Déjà on lui commande des portraits et elle commence à gagner sa vie.
Elle a quinze ans quand elle peint son premier chef-d’œuvre, un portrait de sa mère (collection privée).
En 1768 sa mère se remarie avec un joaillier fortuné, Jacques-François Le Sèvre.

Une carrière fulgurante


Marie-Antoinette d'Autriche par Élisabeth Vigée Le Brun.
En 1770, le dauphin Louis-Auguste, petit-fils du roi Louis XV, épouse Marie-Antoinette d'Autriche à Versailles, fille de l'impératrice Marie-Thérèse.
À la même époque, la famille Le Sèvre-Vigée s’installe rue Saint-Honoré, face au Palais-Royal. Louise-Élisabeth s’établit, à quinze ans, comme peintre professionnelle et les commandes affluent.

Pour la suite -

http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lisabeth_Vig%C3%A9e_Le_Brun



L'article en anglais :

Louise Élisabeth Vigée Le Brun

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Louise Élisabeth Vigée Le Brun
Self-portrait in a Straw Hat by Elisabeth-Louise Vigée-Lebrun.jpg
Self-portrait in a Straw Hat, 1782.
Birth name Marie Élisabeth Louise Vigée
Born 16 April 1755
Paris, France
Died 30 March 1842 (aged 86)
Paris, France
Nationality French
Field Painting
Movement Rococo, Neoclassicism
Louise Élisabeth Vigée Le Brun (Marie Élisabeth Louise; 16 April 1755 – 30 March 1842) also known as Madame Lebrun, was a French painter, and is recognized as the most important female painter of the 18th century.
Her style is generally considered Rococo and shows interest in the subject of neoclassical painting. Vigée Le Brun cannot be considered a pure Neoclassist, however, in that she creates mostly portraits in Neoclassical dress rather than the History painting. In her choice of color and style while serving as the portrait painter to Marie Antoinette, Vigée Le Brun is purely Rococo.

Early life

Born in Paris on 16 April 1755, Marie-Louise-Élisabeth Vigée was the daughter of a portraitist and fan painter, Louis Vigée, from whom she received her first instruction. Her mother was a hairdresser.[1] She was sent to live with relatives in Épernon until the age of 6 when she entered a convent where she remained for five years. Her father died when she was 12 years old. In 1768, her mother married a wealthy jeweler, Jacques-Francois Le Sèvre and the family moved to the rue Saint-Honoré close to the Palais Royal. She was later patronised by the wealthy heiress Louise Marie Adélaïde de Bourbon, wife of Louis Philippe II, Duke of Orléans. During this period Louise Élisabeth benefited from the advice of Gabriel François Doyen, Jean-Baptiste Greuze, Joseph Vernet, and other masters of the period.
By the time she was in her early teens, Louise Élisabeth was painting portraits professionally. After her studio was seized, for her practising without a license, she applied to the Académie de Saint Luc, which unwittingly exhibited her works in their Salon. On 25 October 1783, she was made a member of the Académie.

suite ici

http://en.wikipedia.org/wiki/Louise_%C3%89lisabeth_Vig%C3%A9e_Le_Brun




Elle a un visage 'sympa', je trouve





Note le lien dans l'article à

Adélaïde Labille-Guiard

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Adélaïde Labille-Guiard
Labille-Guiard, Self-portrait with two pupils.jpg
Self-portrait with two pupils, by Adélaïde Labille-Guiard, 1785. The two pupils are Marie Capet and Carreaux de Rosemond.
Birth name Adélaïde Labille
Born 11 April 1749
Paris, France
Died 23 April 1803 (aged 54)
Paris, France
Nationality French
Field Miniatures, painting, pastels
Movement Rococo to Neoclassicism
Adélaïde Labille-Guiard (11 April 1749 – 24 April 1803), also known as Adélaïde Labille-Guiard des Vertus, was a French miniaturist and portrait painter.[1][2]

Family

Adélaïde Labille-Guiard was born in Paris, the youngest of eight children, to a bourgeois family.
 suite :
http://en.wikipedia.org/wiki/Ad%C3%A9la%C3%AFde_Labille-Guiard