3/29/13

Année Erotique


Manier le sexe/érotisme/sensualité en art est très difficile – il faut une grande rigueur intellectuelle ;D (oui, oui). On verse facilement dans le "cru" ou le "mièvrerie". C'est surtout ce dernier (sentimentalisme et cie), je pense, qu'on reproche aux "pompiers"/les victoriens. Pas seulement le sexe, c'est pareil avec n'importe quel thème qui tiennent l'artiste à cœur en dehors des considérations picturales (prétentieux, moi?! Débile, sûrement!)

Même le Bougereau – un tableau incroyable en tant que peinture a, peut être, ce côté "adolescent"



 Longsden

Cot

Bougereau


Gerome


Gerome




Voilà des artistes vivants qui manient la peinture délicieusement bien et qui touche au "sensuel" de (très) près ou de (très) loin. Je trouve qu'il penchent trop vers le cru ou le sentimental. On a droit - on fait comme on entend. (mettez le nom de l'artiste dans Google/Google Images) :

Malcolm Liepke (plutôt "cru", mail il manie bien la matière et couleur?)

Vincent Romero (c'est quand même très beau, il y a des moments ou il arrive à le faire?)

Casey Baugh (pas d'homme présent. C'est du pin-up moderne? On dirait des pages de Vogue? J'aime pas mal quand même)

Jack Vettriano (wow, mon avis = nul! (faut pas le dire comme ca, m'enfin ;) )

Fabian Perez (en fait, j'aime bien!!!!)



Moi, je préfere celui ci comme style pour parler de ces choses là


 
Haynes King

Gallery: So Far


Plonky

Nuff said ;(


3/28/13

Subject Matter




Là, je fais pas grande chose. Je suis flemmard. Je réfléchis (je dis toujours ça! Je pense trop?). Faut recharger les lapins duracell ;D ?

J'avais dit que j'aimais avoir un sujet qui me tient à cœur et que j'en ai pas. C'est vrai. J'ai sorti des tableaux que j'ai faits, j'ai choisi ceux qui me semblent rentrer dans la catégorie 'j'avais vraiment envie de le faire' (pas forcément les mieux, mais souvent oui).

Je voulais voir s'il y a un espèce de 'thème' (pas besoin de les sortir pour voir ça, mais m'enfin ;) )...

Si on avait un niveau un peu potable/'pro' et peignait de façon expressif/délicieux on pourrait

Faire dans l'érotique. Je pense que ça se vendrait bien, en fait. Avec une bonne inspiration... :=)

Faire des portraits. Ca doit marcher? Les gens sont nombrilistes, c'est sûr (qui moi? Non pas nous – d'autres moins intelligents que nous ;=) Bizarre qu'il y a pas plus de portraits actifs/expressifs/dynamiques – il y a une tendance à faire dans le "posé", non ?

Hmmm... Dans le temps, l'hiérarchie était

1/ Grandes scènes historique, bibliques, mythiques – histoire, etc.
2/ Nus / portraits
3/ Nature mort
4/ Paysage (il y en avait pas tellement en tant que)


Le paysage n'est plus déconsidéré ... Il y a, actuellement, bcp de nature morts (c'est comment le pluriel ?) - c'est le sujet technique par excellence pour s’améliorer et on peux peindre d'après nature facilement.

Moi, j'ai bien l'intention de faire ce qui me plaît. Il risque, donc, d'avoir beaucoup de paysages. Marcher/se balader/explorer est un grand plaisir – être dans la nature (faire partie de?)

Le paysage Français - ce pays qui m'a attiré comme un pays rêvé a toujours eu une magie pour moi. Le truc avec le concept "Célestin" c'est que l'histoire persiste en France - le monde moderne l'a pas détruit.

Mais, c'est quoi l’intérêt du paysage. Quelqu'un a des idées ?! ...


Voilà un tableau avec un titre intelligent:


Ken Auster, Business or Pleasure




3/23/13

Félix Ziem






Inititié par Gizem,vu par moi,  developé par Artémisia, qui dit :

Félix Ziem ...à vos agendas , les amis !!
http://www.petitpalais.paris.fr/fr/expositions/felix-ziem-jai-reve-le-beau

...reportage TF 1 par ici:
http://videos.tf1.fr/jt-we/le-petit-palais-expose-felix-ziem-7892933.html

Electrical Banana!

The call me mellow yellow, that's right!



Je viens de voir un joli petit reportage sur l'expo Zien (Ziem?) (TF1 samedi 13h) - c'est Gizem qui va être content (et nous tous :) )



On dit que c'est pas le sujet,mais la manière. Bof, j'aime surtout  avoir un sujet qui m'inspire/tient  à coeur!! Je n'en ai pas. Pour m'exercer je refais les vieux. Lassant, je sais.... (désolé)... ces deux ne sont pas terminés - mais pas loin...



 
 Veiled Sun, new version, oil on canvas 50 x 60 cm odd










Back of the Water Mill at Sundown, new version oil on canvas 50 x 60 cm odd











Pete the Street (lien = page vidéos de son site - les archives tableaux, c'est une autre page, etc.)

http://www.peterbrownneac.com/video.asp




Your's truly - Boo! Argghhh!


3/16/13

Shimmer, Salt









Shimmer I, II, huile sur toile, 30 x 45 cm








Salt I, II, huile sur toile, acrylique sur toile, 50 cm x 60 cm

Je les ai travaillés et travaillés

3/13/13

Experiments II

J'essaie la mélange Blockx pyrrolo vermilion + bleu outremer foncé - avec le pyrrollo en remplacant de terre de sienne brulée. J'aime beaucoup - ça donne un marron/violet transparent - avec du Liquin et appliqué fin, ça sèche rapidement - pour faire les brunailles... (désolé pour les photos! - complètement inutiles, en fait   :(    )



3/10/13

After the Rain

Misty February evening












Experiments





Le Capucine Light est une rose froide.. ..j'ai pris le bon? Le TOR est bien chaud comme j'aime. Je vais voir qu'est-ce que ça donne...

3/9/13

La Nouvelle Monette

 Ma maman voulait absolument partager ça avec moi - elle a fidèlement regardé et veut que son fiston en profite ;D

La télé anglaise (BBC2), a fait une série d'émissions style "La nouvelle Star", mais avec des artistes/tableaux!!!!!! - "Show Me The Monet". Extraits sur YouTube :

http://www.youtube.com/watch?v=K6IJ5lb0cmE


http://www.youtube.com/watch?v=EFKBisWDyO8

http://www.youtube.com/watch?v=OV2Be-iEavY

etc.

Et le site de la série pour voir les oeuvres, etc.

http://www.bbc.co.uk/programmes/b011djxx






We Want... ... A Shrubbery!



Tout d'un coup, je m'interesse aux herbes, folles etc. ;)








Girl in a Meadow, William Stott of Oldham

3/8/13

The Slow Moon Climbs - intermediate stage









 Moon Rise I et II, Huile sur tiole 50 x 60 cm (trop petit!)


Hmm, maniement un peu lourdaud - me faut un petit coup de ponceuse électrique
avant de continuer  ;(... ?

3/6/13

Block-in Continued V1, V2, V3

Well now,








Moon Rise

Dover Beach

The sea is calm to-night.
The tide is full, the moon lies fair
Upon the straits; on the French coast the light
Gleams and is gone; the cliffs of England stand;
Glimmering and vast, out in the tranquil bay.
Come to the window, sweet is the night-air!
Only, from the long line of spray
Where the sea meets the moon-blanched land,
Listen! you hear the grating roar
Of pebbles which the waves draw back, and fling,
At their return, up the high strand,
Begin, and cease, and then again begin,
With tremulous cadence slow, and bring
The eternal note of sadness in.


Sophocles long ago
Heard it on the A gaean, and it brought
Into his mind the turbid ebb and flow
Of human misery; we
Find also in the sound a thought,
Hearing it by this distant northern sea.
The Sea of Faith
Was once, too, at the full, and round earth's shore
Lay like the folds of a bright girdle furled.
But now I only hear
Its melancholy, long, withdrawing roar,
Retreating, to the breath
Of the night-wind, down the vast edges drear
And naked shingles of the world.

Ah, love, let us be true
To one another! for the world, which seems
To lie before us like a land of dreams,
So various, so beautiful, so new,
Hath really neither joy, nor love, nor light,
Nor certitude, nor peace, nor help for pain;
And we are here as on a darkling plain
Swept with confused alarms of struggle and flight,
Where ignorant armies clash by night

Matthew Arnold

ELEGY IN A COUNTRY CHURCHYARD

The curfew tolls the knell of parting day,
The lowing herd winds slowly o'er the lea,
The ploughman homeward plods his weary way,
And leaves the world to darkness and to me.

Now fades the glimmering landscape on the sight,
And all the air a solemn stillness holds,
Save where the beetle wheels his droning flight,
And drowsy tinklings lull the distant folds:

Save that from yonder ivy-mantled tower
The moping owl does to the moon complain
Of such as, wandering near her secret bower,
Molest her ancient solitary reign.


Beneath those rugged elms, that yew-tree's shade,
Where heaves the turf in many a mouldering heap,
Each in his narrow cell for ever laid,
The rude Forefathers of the hamlet sleep.

The breezy call of incense-breathing morn,
The swallow twittering from the straw-built shed,
The cock's shrill clarion, or the echoing horn,
No more shall rouse them from their lowly bed.

For them no more the blazing hearth shall burn,
Or busy housewife ply her evening care:
No children run to lisp their sire's return,
Or climb his knees the envied kiss to share,

Oft did the harvest to their sickle yield,
Their furrow oft the stubborn glebe has broke;
How jocund did they drive their team afield!
How bow'd the woods beneath their sturdy stroke!

Let not Ambition mock their useful toil,
Their homely joys, and destiny obscure;
Nor Grandeur hear with a disdainful smile
The short and simple annals of the Poor.

The boast of heraldry, the pomp of power,
And all that beauty, all that wealth e'er gave,
Awaits alike th' inevitable hour:-
The paths of glory lead but to the grave.

Nor you, ye Proud, impute to these the fault
If Memory o'er their tomb no trophies raise,
Where through the long-drawn aisle and fretted vault
The pealing anthem swells the note of praise.

Can storied urn or animated bust
Back to its mansion call the fleeting breath?
Can Honour's voice provoke the silent dust,
Or Flattery soothe the dull cold ear of Death?

Perhaps in this neglected spot is laid
Some heart once pregnant with celestial fire;
Hands, that the rod of empire might have sway'd,
Or waked to ecstasy the living lyre:

But Knowledge to their eyes her ample page,
Rich with the spoils of time, did ne'er unroll;
Chill Penury repress'd their noble rage,
And froze the genial current of the soul.

Full many a gem of purest ray serene
The dark unfathom'd caves of ocean bear:
Full many a flower is born to blush unseen,
And waste its sweetness on the desert air.

Some village-Hampden, that with dauntless breast
The little tyrant of his fields withstood,
Some mute inglorious Milton here may rest,
Some Cromwell, guiltless of his country's blood.

Th' applause of list'ning senates to command,
The threats of pain and ruin to despise,
To scatter plenty o'er a smiling land,
And read their history in a nation's eyes,

Their lot forbad: nor circumscribed alone
Their growing virtues, but their crimes confined;
Forbad to wade through slaughter to a throne,
And shut the gates of mercy on mankind,

The struggling pangs of conscious truth to hide,
To quench the blushes of ingenuous shame,
Or heap the shrine of Luxury and Pride
With incense kindled at the Muse's flame.

Far from the madding crowd's ignoble strife,
Their sober wishes never learn'd to stray;
Along the cool sequester'd vale of life
They kept the noiseless tenour of their way.

Yet e'en these bones from insult to protect
Some frail memorial still erected nigh,
With uncouth rhymes and shapeless sculpture deck'd,
Implores the passing tribute of a sigh.

Their name, their years, spelt by th' unletter'd Muse,
The place of fame and elegy supply:
And many a holy text around she strews,
That teach the rustic moralist to die.

For who, to dumb forgetfulness a prey,
This pleasing anxious being e'er resign'd,
Left the warm precincts of the cheerful day,
Nor cast one longing lingering look behind?

On some fond breast the parting soul relies,
Some pious drops the closing eye requires;
E'en from the tomb the voice of Nature cries,
E'en in our ashes live their wonted fires.

For thee, who, mindful of th' unhonour'd dead,
Dost in these lines their artless tale relate;
If chance, by lonely contemplation led,
Some kindred spirit shall inquire thy fate, --

Haply some hoary-headed swain may say,
Oft have we seen him at the peep of dawn
Brushing with hasty steps the dews away,
To meet the sun upon the upland lawn;

'There at the foot of yonder nodding beech
That wreathes its old fantastic roots so high.
His listless length at noontide would he stretch,
And pore upon the brook that babbles by.

'Hard by yon wood, now smiling as in scorn,
Muttering his wayward fancies he would rove;
Now drooping, woeful wan, like one forlorn,
Or crazed with care, or cross'd in hopeless love.

'One morn I miss'd him on the custom'd hill,
Along the heath, and near his favourite tree;
Another came; nor yet beside the rill,
Nor up the lawn, nor at the wood was he;

'The next with dirges due in sad array
Slow through the church-way path we saw him borne,-
Approach and read (for thou canst read) the lay
Graved on the stone beneath yon aged thorn.'
The Epitaph
Here rests his head upon the lap of Earth
A youth to Fortune and to Fame unknown.
Fair Science frowned not on his humble birth,
And Melacholy marked him for her own.

Large was his bounty, and his soul sincere,
Heaven did a recompense as largely send:
He gave to Misery all he had, a tear,
He gained from Heaven ('twas all he wish'd) a friend.

No farther seek his merits to disclose,
Or draw his frailties from their dread abode
(There they alike in trembling hope repose),
The bosom of his Father and his God.

Thomas Gray (1716-71).

3/3/13

EDITION SPECIALE

Pour ceux qui aiment le peinture. Bon, c'était peut être pas la peine de dire ça ;(. Gizem fait une série superbe sur les inspirations de Vince...

http://decem.canalblog.com/

Ebauche pour Moon Rise

Voilà le "block-in" (ébauche)


Moon Rise

Time Passages












"Copies"/""inspiration"" du maître (Donald Jurney). Je vais devoir être plus subtile!! Surtout niveau couleurs... J'essaies...