Je tâtonne - comme d'hab
une première tentative (on dirait une carte postale ;( )
révisé (c'est mieux?! hmm... )
2/25/15
2/23/15
2/18/15
Vallon des Auffes - merde, car rien de neuf!
Il tire son nom de l’auffe1 (auffo en provençal) ou alfa, sorte de plante graminée utilisée pour fabriquer des cordages de navires, des nattes et des filets de pêche.
Mon dernier image a plusieurs éléments typiques/obsessionnels de moi récemment – barques/tour/personnage en silhouette :
J’avais envie de faire une scène similaire et mon vieux tableau de "Vallon des Auffes" (peint en environ 1987)
m’est venu en tête, je me suis dit je vais faire un truc en trois modes – 1) aplats 2) coups de pinceaux lâches et vigoureux 3) au couteau, donc je mets ‘Vallon des Auffes’ dans Google images – et je trouve un paquet de tableaux supers/intéressants – c’est « déjà fait » ;D (et j'aime bcp!!! - voir ci-dessous), hmmm……
par exemple :
http://www.gilbthomas.blogspot.fr/
http://www.honnore-peintre.com/marseille/1-vallon-des-auffes.html
Ellis Gérald
Je me demande si JC Quilici la fait?
Mon dernier image a plusieurs éléments typiques/obsessionnels de moi récemment – barques/tour/personnage en silhouette :
J’avais envie de faire une scène similaire et mon vieux tableau de "Vallon des Auffes" (peint en environ 1987)
m’est venu en tête, je me suis dit je vais faire un truc en trois modes – 1) aplats 2) coups de pinceaux lâches et vigoureux 3) au couteau, donc je mets ‘Vallon des Auffes’ dans Google images – et je trouve un paquet de tableaux supers/intéressants – c’est « déjà fait » ;D (et j'aime bcp!!! - voir ci-dessous), hmmm……
par exemple :
http://www.gilbthomas.blogspot.fr/
http://www.honnore-peintre.com/marseille/1-vallon-des-auffes.html
Ellis Gérald
Je me demande si JC Quilici la fait?
2/14/15
Livin' the life and Distant bell
Living the life, acrylique, 60 x 80
The Tolling of the Distant Bell, acrylique, 60 x 80
on fait un tour de la baie en bateau? – puis un petit diner au bord du port – avec les lampes qui s’allument et reflètent dans l’eau…
J’utilise les acryliques car pas de ventilation en hiver – tendance vers des couleurs flashy – pourtant les ébauches me plaisaient bien – encore des bateau/ports kitsch – mais ça m’attirait – je suis un " "peintre " " des marines!!!
Service Pack 1 (je suis repassé avec peinture à l'huile)
Benjamin Constant sur Gurney Journey
2/5/15
Regatta de blanc
2/4/15
D’autres qui ont l’air intéressants
Un article sur le ‘Guardian’ par Helen MacDonald qui vient de gagner
un prix pour son livre ‘H is for Hawk’ m’a intéressé – bien écrit (qui
donne donc envie de lire son livre !)
http://www.theguardian.com/books/2015/jan/28/helen-macdonald-h-is-for-hawk-costa-prize-six-nature-books
– et dans lequel est cite des livres/auteurs que j’aime (TH White…) et qui me mène à un livre sur le paysage par Simon Schama (lui qui a fait la séries télé ‘The Power of Art)
(il a écrit des trucs! : Simon Schama is University Professor of Art History and History at Columbia University and the prize-winning author of fourteen books, which have been translated into twenty languages. They include The Embarrassment of Riches: An Interpretation of Dutch Culture in the Golden Age; Citizens: A Chronicle of the French Revolution; Landscape and Memory; Rembrandt‘s Eyes; the History of Britain trilogy and Rough Crossings, which won the National Book Critics Circle Award. He has written widely on music, art, politics and food for the Guardian, Vogue and the New Yorker. His award-winning television work as writer and presenter for the BBC stretches over two decades and includes the fifteen-part A History of Britain and the eight-part, Emmy-winning Power of Art« )
Ca existe en français :
On ne voit jamais un paysage, on le revoit : il est là, gravé en nous par les récits, les mythes collectifs, les images les plus diverses, des gravures aux tableaux, des cartes postales aux films. Et c’est ce travail collectif de la mémoire, la constitution de paysages idéaux par accumulation de récits, de descriptions, de journaux de voyages, d’images, que Schama élucide […] Ces visites des hauts lieux naturels, » où soi-même se révèle à soi-même « , sont à chaque fois l’occasion d’une démonstration érudite (Schama fait un très bel usage des citations) et d’une écriture très maîtrisée. Etudiant le travail quasi poétique opéré par la mémoire collective sur bon nombre de paysages, Simon Schama se fait lui-même écrivain. Sans doute est-ce là que son appel provocateur en faveur d’une autre histoire est le plus convaincant : le récit, dans ce livre, brasse les métaphores, les citations et l’analyse selon un fil narratif dont le pouvoir de suggestion gagne, à lui seul, le statut d’un paysage. Enserrant et répondant à ce paysage de mots, il convient de mentionner enfin le très beau travail d’illustration proposé ici, les images s’ajustant à l’écriture tout au long d’un ouvrage qui fait date.
http://www.theguardian.com/books/2015/jan/28/helen-macdonald-h-is-for-hawk-costa-prize-six-nature-books
– et dans lequel est cite des livres/auteurs que j’aime (TH White…) et qui me mène à un livre sur le paysage par Simon Schama (lui qui a fait la séries télé ‘The Power of Art)
(il a écrit des trucs! : Simon Schama is University Professor of Art History and History at Columbia University and the prize-winning author of fourteen books, which have been translated into twenty languages. They include The Embarrassment of Riches: An Interpretation of Dutch Culture in the Golden Age; Citizens: A Chronicle of the French Revolution; Landscape and Memory; Rembrandt‘s Eyes; the History of Britain trilogy and Rough Crossings, which won the National Book Critics Circle Award. He has written widely on music, art, politics and food for the Guardian, Vogue and the New Yorker. His award-winning television work as writer and presenter for the BBC stretches over two decades and includes the fifteen-part A History of Britain and the eight-part, Emmy-winning Power of Art« )
Ca existe en français :
On ne voit jamais un paysage, on le revoit : il est là, gravé en nous par les récits, les mythes collectifs, les images les plus diverses, des gravures aux tableaux, des cartes postales aux films. Et c’est ce travail collectif de la mémoire, la constitution de paysages idéaux par accumulation de récits, de descriptions, de journaux de voyages, d’images, que Schama élucide […] Ces visites des hauts lieux naturels, » où soi-même se révèle à soi-même « , sont à chaque fois l’occasion d’une démonstration érudite (Schama fait un très bel usage des citations) et d’une écriture très maîtrisée. Etudiant le travail quasi poétique opéré par la mémoire collective sur bon nombre de paysages, Simon Schama se fait lui-même écrivain. Sans doute est-ce là que son appel provocateur en faveur d’une autre histoire est le plus convaincant : le récit, dans ce livre, brasse les métaphores, les citations et l’analyse selon un fil narratif dont le pouvoir de suggestion gagne, à lui seul, le statut d’un paysage. Enserrant et répondant à ce paysage de mots, il convient de mentionner enfin le très beau travail d’illustration proposé ici, les images s’ajustant à l’écriture tout au long d’un ouvrage qui fait date.
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